Tokyo-style part 3: quand l'addiction au shopping revient

Alors voyons, où en étais-je de mes tribulations nippones? Ah, oui! L’expérience Harajuku par un jour de pluie.
Parce que oui, il pleut à Tokyo, et durant notre séjour c’était plutôt deux fois qu’une. Alors que fait-on quand le temps n’est pas de la partie, qu’il fait froid et humide et que les deux
parisiennes veulent continuer leur exploration? Et bien… elles vont à Omotesando Hills, un centre commercial design où il fait bon vivre.


 

Omotesando Hills, c’est la réconciliation avec le shopping tokyoïte. Une architecture à faire pâlir nos grands
magasins, une succession de boutiques de luxe dans une oasis de lumière et de lignes pures, un endroit où il fait bon se promener et oublier le climat extérieur. Aaah, se retrouver sous une pluie
de lumière, déambuler via des pentes douces et oublier les escalators… On passe sans transition d’un excellent restaurant qui fait des udon divines (udon, on le met au masculin ou au
féminin..?) à des sacs personnalisables à l’infini via un jeu de glissières à une boutique de luxe pour cabots chouchoutés. Là où tout n’est qu’ordre et
beauté


Au-delà des portes d’Omotesando Hills se trouve la quartier de
Harajuku, bien connu pour ses victimes de la mode et ses nombreuses boutiques de designers. On y trouve pêle-mêle tous les styles, allant du gothique au skater en passant par la lolita trash et
la jolie soubrette. Le spectacle est dans la rue, surtout le dimanche (les cosplays se retrouvent dans le Yoyogi Park voisin), et les boutiques se suivent mais ne se ressemblent pas. Là encore,
il faut pousser les portes, monter dans les étages ou descendre dans les caves pour dénicher de petites merveilles vintage pour pas cher.



C’est encore ici qu’on trouve une boutique à touristes qui propose une
grande
variété de souvenirs du Japon. L’oriental Bazar est l’endroit idéal
pour acheter un kimono ou un yukata (kimono en coton), un service à thé ou des bricoles inutiles mais qu’on ne peut s’empêcher d’acheter. A quelques mètres, c’est Kiddyland qui attire les grands
enfants. Gadgets, charms, jouets, tout est là pour pousser à la consommation. Les fans de Hello Kitty deviennent dingues à l’étage consacré au chat rose et blanc, les nostalgiques des anées 80
découvriront avec joie les nouveaus Kiki (ben oui, Kiki, vous vous souvenez?) ou les objets à l’effigie de Snoopy. Quant aux mangaphiles, le dernier étage les perdra… Enfin, Condomania vous
permettra de touver des préservatifs-kanji (porte-bonheurs japonais) ou qui brillent dans la nuit. Joyeux mélanges des genres!

Après les affres de Ginza et Roppongi Hills, Omotesando Hills et Harajuku nous ont réconciliées avec le
shopping. Ma complice ne savait plus où donner de la tête niveau baskets et s’est ruinées pour des paires introuvables en France. Quant à moi, j’ai fait une razzia en bonne et due forme chez
Kiddyland (si vous croisez une adulescente avec cette gourde dans son sac, vous me reconnaîtrez). Mais ma plus grand victoire, c’est un yukata noir et rose qui me rappelle Tokyo à chaque fois que
je l’enfile ; avec un peu d’imagination, c’est back to Japan..!

One thought on “Tokyo-style part 3: quand l'addiction au shopping revient

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