Hype birthday
Parmi les étapes importantes d’une année, il y a effectivement le réveillon, Noël, la
Saint-Valentin (sic!), mais surtout, surtout… l’anniversaire. Et moi, c’était samedi. Fidèle à mes nouvelles résolutions, j’ai donc décidé de vous raconter ma soirée qui a tout de même fini à
6h, ce qui est relativemement honorable. Et en prime des vidéos qui valent le détour… Quand on sort avec Christophe W, il faut bien s’attendre à quelques débordements (ou réaction immédiate de
fille à Vélib’ qui l’aperçoit dans la voiture)…
Premier impératif d’une soirée d’anniversaire résussie: le programme. Dîner en comité restreint (ou pas), simple apéro, à la
maison ou dans un endroit sympa, sortie… En voilà des choses à planifier..! Alors on commence par la liste des invités, parce que, souvent, le nombre de convives détermine le lieu. Cette
fois-ci, c’était décidé: dîner au restaurant because c’était MA journée et que je n’allais pas la passer aux fourneaux (j’ai préféré me faire chouchouter avec manucure et maquillage à
l’appui).
Le lieu s’est vite imposé: le Zo. Pourquoi le Zo? Parce que le Zo ne fait pas partie de ces grosses machines ultra-médiatisées, over-peoplisées, où le nombre de crétins en manque d’éducation
avoisine l’excessivité de l’addition. Parce que le Zo met tout le monde d’accord: on peut y manger des suhis en entrée, de la viande en plat et des nems banane au Nutella en dessert (ou
inversement). Parce que le service y est plus que sympa. Parce que le mojito-framboise, moi j’adore. Vous voulez d’autres raisons? Allez-y et vous comprendrez. Le seul hic: pas de places pour se
garer, ni de voiturier!
Le dîner, c’est fait. Mais après, on va où après? Parce que ma nuit parisienne n’est plus ce qu’elle était, tous les hypeurs vous le diront. Alors oui, il y a bien le Baron, mais le Baron un
samedi à 8… Et puis le samedi, une boîte où on case difficilement 100 personnes… D’un autre côté, nous avons le Showcase, mais là c’est le problème inverse: trop de monde dans trop de place,
ça fait vraiment beaucoup-beaucoup de gens. Aïe! Et si on se faisait une soirée DVD? Non, ce sera le Paris Paris pour la Blow (mais où vont-ils chercher des noms pareils..?). Direction l’avenue
de l’Opéra pour s’encanailler dans « la boîte à pécho », haut lieu de drague où tout est permis (et vivement recommandé). Soucieux de ne pas faire mentir la réputation devant les non-initiés,
on s’y colle… A l »intérieur, stupéfaction de ma part: j’écarquille les yeux, et me rends à l’évidence: je vois clair! Et oui, sans fumée la vie est plus limpide. Pas besoin de devoir
m’approcher à moins de 30cm de chaque « potentiellement beau gosse » pour vérifier. Là, je reste dans mon coin et j’observe. Lui, là bas, il est pas mal…
Ce qui l’est moins, c’est la musique. Parce que l’électro, j’aime bien, mais encore faut-il que ça me soit un tout petit peu accessible, sinon j’y pige rien. Jai donc fait des efforts, on en a
tous fait, mais le résultat a été plus que décevant. Les oreilles agressées, nous avons finalement déclaré forfait et nous avons regagné Titine qui ous attendait sagement garée sur une livraison
(comment se fait-il qu’il y ait eu à la fois si peu de place pour se garer et si peu de monde au Paris Paris..? Mystère).
Pour finir en beauté, direction le 8ème, valeur sûre en fin de soirée, idéal pour errer d’une club à l’autre. Première initiative: Régine (ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas, les effets
secondaires du Mojito du Paris Paris, certainement…). Et là, coup fatal: nouvel an russe! Très peu pour nous: on a passé l’âge de se mêler à des post-pubères venus se mettre une race à la
vodka. Direction le Mathis, because là on ne se sentira pas hors d’âge, et qu’en plus le Mathis a cet avantage certain: on s’y retrouve entre gens de bonne compagnie. Welcome l’Amaretto et la
bonne zique (si si, je vous assure!). La nuit étant longue, on a même droit à des munitions sous forme de bonbons à emporter « pour la route ».
6h, il est temps de rentrer. Verdict: une première soirée de l’année plutôt réussie, même si la dure réalité s’impose à moi. Paris n’est plus ce qu’elle était, et sortir un samedi relève
du parcours du combattant si on espère passer par les clubs. Je continuerai donc de les éviter soigneusement (la semaine c’est aussi fait pour sortir) au profit de bars cosy (et tendance! on y a
vu Jean-Edouard et Hervé Villard!!!). D’ailleurs, en parlant de star: l’élément indispensable de toute sortie réussie, c’est le sosie de VIP. Comme je garde mes sources jalousement, voici
quelques petites vidéos où il est bien évident que c’est le son qui prime. A vous d’imaginer le reste…
Chamô
Alors là, je proteste… Et mon droit à l’image? Et que les choses soient claires, C.WILLEM est mon sosie et pas l’inverse 😉