Let Lenny rule!
Leeeet Looooove Ruuuuule..!
Leeeet Looooove Ruuuuule..!
Hier soir, pour la troisième fois, j’ai assisté à un concert de Lenny Kravitz. Et, pour la troisième fois, j’ai passé un moment exceptionnel, de ces moments qui restent gravés
dans la mémoire. Blasée d’avoir “encore” vu Lenny Kravitz , Non, pas le moins du monde. L’émotion était au rendez-vous, comme il y a près de 20 ans (ça ne nous rajeunit pas, ma
bonne dame). Même lieu, même heure…
Mais d’abord un petit aparté concernant Raphael Saadiq. Car si Lenny est un grand, un immense, un… (euh, y a quoi après ?) artiste, Raphael Saadiq se pose là lui
aussi. Il a révolutionné la première partie (ma première première partie de Lenny Kravitz c’était Robert Plant. Légende vivante, mais… comment dire… pas pareil,
quoi). Donc Raphael Saadiq… Celui-là a ce quelque chose qui fait qu’on ne peut pas ne pas le suivre, qu’on ne peut pas résister à l’appel de nos pieds, de nos hanches, de nos
bras, de tout notre être qui ne demande qu’à balancer en rythme. C’est péchu, c’est punchy, c’est p….. de bien (pardonnez-moi l’expression) !
Revenons au beau Lenny. Le beau Lenny a beau avoir pris quelques années, il a une énergie qui scotche – il n’y a pas d’autre mot. Il danse, il chante, il envoie…
Epaulé par des musiciens en flagrant délit de talent. Et du talent + du talent + du talent +…, ça donne une explosion scénique à en faire trembler les murs de
Bercy. Avis aux porteurs de pacemakers, n’approchez pas de trop près, vous risqueriez de vous emballer à mort (ouch ! je sais, c’est de mauvais goût un peu quand même).
Lenny Kravitz est une bête de scène qui qui bascule sans crier gare du monstre sacré du rock’n’roll à un homme émouvant face à son public électrisé. Ne m’en veuillez pour cet
enthousiasme débridé, mais Lenny Kravitz est une idole persistante à fort pouvoir addictif.
Nine Trendy
Lenyyyyyyyyyyyyyyyyyy !!! Hum hum, pardon. C’était un cri du coeur.