Pirates des Caraïbes – La fontaine de jouvence


Pirates des Caraïbes
Aaaah ! Johnny Depp… (moi)

Aaaah ! Penelope Cruz… (mon petit scarabée)

Aaaah ! Pirates des Caraïbes… (tous les deux)

Et oui, le troisième opus à peine sorti, nous nous devions d’aller voir de quoi il en retournait. Et puis, une histoire de fontaine de jouvence, ça faisait longtemps qu’on n’en avait pas vu le
bout du museau. Halte aux pilleurs de navires, place aux Indiana Jones des océans !

Le pitch : Jack Sparrow, en “déplacement” à Londres, apprend qu’il recrute des marins pour une expédition alors même qu’il tente de sauver Gibbs (non, pas celui d’NCIS !). Après
une folle course poursuite dans les rues de Londres (il a quelque peu énervé le roi), il retrouve celle qui se fait passer pour lui. Et se retrouve embarqué sur le navire de Barbe Noire à la
recherche de la fontaine de jouvence, alors même que d’autres sont sur le coup.

Inutile d’en écrire des tonnes : Pirates des Caraïbes, c’est la superproduction à laquelle on s’attend, avec, toujours, un Johnny Depp qui donne de la profondeur au personnage de Jack Sparrow, ce
pirate dilettante si attachant. La belle Penelope donne un petit côté caliente et réchauffe l’atmosphère (surtout du côté de mon voisin de gauche). L’intrigue est bateau (mwahaha !), mais le tout
fonctionne bien.

Le verdict : amateurs de films intello (je me demande ce que vous faites encore ici), ce n’est pas pour vous. Amateurs de films ou ça explose de partout… vous serez déçus (sauf
pour le final). Amateurs de films d’action qui ne demandent pas trop de réflexion, vous qui aimez vous laisser porter par le film, vous pouvez y aller. Au risque de me faire quelques ennemis (une
fois n’est pas coutume) : la 3D ne sert à rien. Bref, moi j’ai aimé. Et vous ?

 

Note aux imbéciles de traducteurs : je n’ai pas lu les sous-titres, mais quand on voit comment le titre a été traduit, on peut se poser des questions sur les dialogues…