Ouverture du concept-store Liu Jo à Paris
Jeudi 4 septembre, c’est l’effervescence rue Saint-Honoré: les invités se pressent devant le numéro 368, adresse du tout nouveau, tout
beau concept-store Liu Jo. Liu jo? Une marque italienne qui s’installe enfin dans la capitale. Et ce n’est pas sans mettre les petits plats dans les grands que l’ouverture aura lieu: presse,
photographes, people, gens de la mode, clients hype… Tout le monde était là pour découvrir l’espace dédié aux modèles originaux et écouter mixer Nadège Winter et les Putafranges,
responsables de l’ambiance de la soirée.
Comme souvent, je suis arrivée en retard. Donc loupé le set de Nadège Winter (en même temps, il suffit d’aller traîner mes guêtres à
Bagatelle le week-end pour l’entendre), et les premiers petits-fours (que serait une cocktail sans petits-fours?), mais le plaisir de retrouver une bande d’amis italiens (of course) a
immédiatement posé une ambiance qui s’annonçait des plus chaleureuses. C’est ce qu’on appelle l’art de recevoir à l’italienne: alors que les parisiens tirent la tronche la plupart du temps, les
italiens sourient, conscients de l’image qu’il faut renvoyer. Et c’est ce qui fait la réussite d’une soirée.
J’ai aussi raté du lourd people de la télé: Sophie Davant (très mal habillée m’a-t-on dit), partie tôt, très certainement parce qu’elle travaille le matin (n’est pas night people qui
veut). En revanche, Samuel Le Bihan est arrivé après moi. Comme quoi… Je ne suis pas toujours la dernière! Quant aux photographes… aaaahh! les photographes… certains ont dû me prendre pour
une starlette en devenir car j’ai eu droit à mon lot de flashs.
Passons… L’intérêt de la soirée était tout de même de découvrir le nouvel espace Liu Jo et la collection. A ma grande surprise, la boutique était plus belle, bien plus belle, que celle de Rome.
Chose qui l’a été expliquée par la directrice du concept-store: il s’agit, justement, du premier concept-store de la marque, d’où les moyens mis en oeuvre pour le mettre en valeur.
Deuxième bonne surprise: les Putafranges. Je n’ai jamais fait partie de ces groupies qui tentent d’approcher les têtes connues et exultent à chaque visage familier du PAF. Donc, j’imaginais Tania
Bruna-Rosso, la jolie brune du Grand Journal, à ma façon. Dans mon idée, elle était plus grande. Mais aussi plus désagréable. Alors que pas du tout!!! A peine l’avais-je approché pour lui
demander si, éventuellement peut-être, je pourrais prendre une photo du duo pour mon blog, qu’elle me lançait un grand sourire et prenait la pose avec un naturel déconcertant.
Voici donc l’histoire de ma petite soirée d’inauguration, à croquer dans des petites quiches succulentes et dévorer de la panna cotta toute légère. De la bonne compagnie, des DJettes qui ne se
la jouent pas, un set musical tout à fait approprié, des beaux garçons et des jolies filles à la pelle, et des vêtements sympas (il ne faut pas oublier qu’on parle d’une marque de mode). Donc j’y
retournerai, et pour une fois, je n’envisagerai pas d’aller faire mes emplettes de la capitale italienne. Il faut parfois savoir apprécier ce qu’on a sous la main!
Miss Mad | Les vendanges de l’avenue Montaigne
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